Des poils dans l’camion !

« Tu verras, un chien dans un camion c’est pas top… », « Franchement, pauvre bête… », « Et puis ça prend de la place… » On en a entendu des choses sur les chiens voyageurs. Deux ans après l’arrivée de Sixa, on vous dit tout.

On ne va pas se mentir, nous ne voulions pas de chien à la maison. A la fin des différents confinements, Sophie et les enfants (surtout eux d’ailleurs) ont commencé à militer activement en vue de l’arrivée à la maison d’un compagnon à quatre pattes.

J’ai toujours été contre… et le suis toujours d’ailleurs, parce que moi « j’aime pas les animaux !!! ».


Un chien à la maison !

Après un long travail de lobbying, digne de l’Assemblée Nationale ou du Parlement Européen, le vent tourne à la maison et l’acquisition d’une peluche vivante semble inéluctable. L’un de mes arguments contre était notamment notre nomadisme routier et notre affection pour la montagne. Même si nous ne sommes pas des voyageurs à l’année, nous passons tout de même un temps certain dans notre Arno. Alors forcément, un chien ça prend de la place. Et puis nous passons tout de même des vacances un peu sportives, avec des visites, des balades, des randos, de l’escalade, des sommets… Un chien ne pourrait pas suivre.

Dès le départ, mes arguments ne tenaient pas vraiment la route. J’ai en effet quelques amis maitres de chiens parfaitement dressés et socialement aptes à la vie en camion.

Enfin bref, j’avais aiguisé mes arguments en défaveur d’un compagnon canin à la maison. C’était sans compter sur la persévérance des enfants, et je dois bien l’avouer aussi… ma faiblesse, que nous nous retrouvons un jour de mai 2020 à braver l’interdit des déplacements à plus de 10 km pour faire un crochet à Beaune.

C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés avec une boule de poils que l’on nommera Sixa. N’ayant pas eu grand chose à dire sur son arrivée, étant obstinément contre, je n’ai eu de seul réconfort dans cette histoire que de pouvoir choisir son patronyme. C’était l’année des S. J’aime beaucoup l’escalade. 6a est une valeur de l’échelle de cotation de difficulté d’une voie d’escalade.

C’est un Border Collie, une race de chien de troupeau. Elle vient d’une ferme qui ne travaille pas avec les chiens, où elle était habituée à vivre dehors. Papa et maman sont deux Border aussi. Nous n’avons pas de tracé LOF, mais ce n’est pas l’objectif.

En cherchant un peu sur le net, nous avions pu observer les différentes races de chiens dit sportifs, le Border semblait tout indiqué pour notre style de vie. Besoin de sport, discipliné si bien éduqué, obéissant et pas trop grand en gabarit.


Éducation à la dure.

N’y connaissant absolument rien aux chiens, n’ayant jamais eu de toutou à la maison… il nous fallait une méthode efficace pour apprendre à ce compagnon à quatre pattes les règles à la maison.

Je ne me voyais pas me rendre tous les dimanches dans un centre canin. Un ami nous parle d’une méthode sur internet avec un éducateur réputé. Nous regardons un peu, beaucoup et adoptons le principe. Il s’agit de la méthode de Tony sur Esprit Dog. Percutant, efficace et direct. Juste ce qu’il nous faut. La formation se fera à la maison en quelques semaines pour les grands principes de base, puis avec le temps pour le reste. Nous poursuivons toujours d’ailleurs.

C’est d’ailleurs en regardant sur la chaine Youtube d’Esprit Dog la présentation des Border, que nous avons (presque) été convaincus dans le choix de la race de notre futur compagnon.

Parmi les choses primordiales à faire avec ce petit toutou, il y a la connaissance du monde et de ses bruits. Au sens très large des choses.

Nous voici, avec Sixa, en voiture, dans les transports en commun divers et sur toute sorte d’engins permettant de se déplacer…

Mais aussi dans un grand nombre de situations qui permettent de travailler sur la gestion du stress, des bruits…

Plus de limites !

Et maintenant, c’est un véritable régal que de se promener avec Sixa. En France, en Espagne, au Portugal, en Suisse, en Angleterre. Cela ne fait que 20 mois qu’elle partage notre vie, mais elle reste à nos côtés en toute situation.

Et dans le van ?

On s’était fait tout une montagne de cette affaire, comment s’y prendre, à quel moment le faire sortir pour ses besoins, la balade sous la pluie, le retour à l’intérieur les pattes mouillées…

En fait les choses se sont fait naturellement. Sixa est à l’arrière quand on roule, câlinée par les enfants ou en mode dodo. A l’arrêt, quand il faut s’activer pour la vie collective (repas..), elle est à l’arrière, câlinée par les enfants ou en mode dodo. Quand on mange, elle est à l’arrière, câlinée par les enfants ou en mode dodo. Quand il est l’heure de faire dodo… elle est sur nous à faire la fête et des léchouilles partout.

Trêve de plaisanterie. Elle voyage avec les enfants sur la banquette arrière et vient se faire une place sous le siège passager quand ça chahute trop à l’arrière. C’est aussi sa place pour la nuit. Nous avons identifié le mot « panier » à cet endroit et elle y va quand nous la sollicitons dans ce sens (merci la méthode de Tony).

Au petit matin, il n’est pas rare de la retrouver vers nous sur la banquette lit à grappiller des centimètres en ce dirigeant sournoisement vers nous pour faire des câlins.

Durant sa phase « petite enfance », à la maison, nous nous efforcions de la sortir toutes les deux heures pour faire ses besoins et éviter ainsi des accidents en intérieur (il n’y a eu que deux accidents à la maison en tout et pour tout). Nous avions même mis un roulement en place où je me couchais vers 2 ou 3 heures du matin et Sophie se levait vers 5 ou 6 heures du matin pour permettre ce roulement. Lors de notre premier vrai WE de vadrouille avec elle, nous étions prêts à poursuivre notre petit roulement, quand d’un coup d’un seul… vers 22h00, mademoiselle se dirige vers son panier, se pose en mode « husky roulé dans la neige » et s’endort jusqu’à 7h00 le lendemain. Pas d’accident, pas de problème. Ce fut une grosse claque pour nous, car oui, c’était maintenant possible de passer une nuit complète sans se réveiller.

En grandissant, les choses se sont améliorées (pour nous), elle fait un tour dehors lors de notre opération brossage de dents puis vient se coucher en même temps que nous et ressort la tête du van avec le premier allant faire son pipi du matin. Durant la nuit, Sophie se lève régulièrement faire un petit pipi nocturne, mais Sixa, bien réglée dans ses besoins, ne suis pas forcément durant cette sortie.

C’est un petit modèle de Border Collie et finalement c’est une bonne chose. Elle ne prend presque pas de place. Elle est suffisamment calme quand il le faut, pour ne pas trop chahuter à l’intérieur.

Certes, rentrer dans le van après une balade sous la pluie demande tout de même un peu d’organisation. Séchage des pattes et des poils avec une serviette dédiée. Protection de la banquette avec une couverture…

Je ne suis pas trop maniaque en Van… Bon OK si, j’étais déjà complétement psychopathe de la balayette avant. Mais maintenant, avec le chien et les poils qui se perdent régulièrement sur le sol… c’est pire. Ce n’est pas un modèle de chien qui a tendance à perdre beaucoup de pelage, mais tout de même un peu. Je ne vais pas vous dire que pour moi c’est un enfer, mais quand même un peu.

Côté odeur, aussi, nous nous faisions tout une montagne… « Ça va sentir le phoque dans le van… » Mais non! quand elle a le poil mouillé, oui cela sent un peu le chien, mais c’est tout.

Tu veux une croquette ?

Une question qui revient souvent maintenant qu’on voyage avec Sixa est sur l’alimentation. Que lui donner en voyage, comment faire à l’étranger ? Et bien comme à la maison ! Sixa, n’est pas une grosse mangeuse. Sa ration quotidienne d’environ 300 grammes lui suffit amplement. Quand on part sur un WE, on prend avec nous une boite qui se referme facilement type pot de glace du commerce. Il y a à l’intérieur ce qu’il faut pour la journée ou les deux jours. Nous avons même trouvé l’astuce d’avoir deux contenants emboitables avec un seul couvercle. Le contenant de l’eau n’a pas de couvercle et une fois vidé, nous empilons le contenant des croquettes (pas toujours vide) avec son couvercle dessus. Cela ne prend pas de place.

Durant un trek de 3 jours dans le Haut Doubs (à lire ICI) Sophie avait dans son package le nécessaire en aliments. Nous nous étions alors dit qu’une petite sacoche portée par le chien serait une bonne solution. Nous regarderons pour affiner cette solution pour notre prochaine aventure à pied.

Lors de notre long séjour en Espagne et au Portugal, nous avions rempli trois sacs étanches avec l’équivalent de 35 doses repas. Cela prenait pas mal de place dans le coffre, mais nous étions tranquilles plus des 3/4 du trajet. Sur son séjour en Angleterre, Sophie avait aussi consacré une grosse place dans le coffre pour les aliments de Sixa. Elle avait du acheter sur place un sac pour finir le voyage.

Il faut savoir que les chiens n’aiment pas trop changer du jour au lendemain leur alimentation. Si vous voyagez longtemps, il faudra envisager un achat de nouvelles croquettes quelques jours avant la fin de votre paquet en cours et faire des mélanges durant quelques jours avant de donner exclusivement le nouvel aliment. Attention, ce n’est pas parce que le paquet de croquettes est plaisant au look, que c’est forcément bon dedans. Notre chien sait aussi avoir du goût (surtout quand ça sent fort). Un changement trop rapide peut entrainer quelques perturbations digestives.

Plage réservée aux chiens.

Ce n’est pas demain la veille que nous verrons ce type de panneaux sur les lieux touristiques. Même si nous arrivons plutôt à tout faire avec Sixa, il arrive vraiment souvent que des endroits lui soient interdits. Musée, plage, restaurant… Et ce n’est pas en France que les toutous ont le plus de liberté. Dès que vous êtes dans un lieu touristique cela a même tendance à empirer.

Quasiment toutes les plages de la côte Méditerranée ont un petit panneau indiquant l’interdiction d’accès, idem pour celle de la façade Atlantique.

Dans les parcs régionaux et parcs naturels, l’accès au toutou peut être toléré si celui-ci reste en laisse.

A l’étranger, cela dépend de là où vous êtes. De nombreuses plages en Espagne sont dans le même cas de figure. Au Portugal aussi, même si l’application de l’interdiction est un peu plus aléatoire.

Le pays le plus pet friendly que nous ayons fait pour le moment était l’Angleterre. Avec une large ouverture aux toutous voire même des équipements ou des dispositions rien que pour eux. Sophie a été très surprise dans un restaurant de voir que Sixa avait eu une gamelle d’eau et une couverture avant même que sa commande soit prise. Lorsque nous avons acheté nos tickets de train pour visiter Londres, la guichetière nous avait laissé des friandises pour chien avec le pass. A la frontière, la douanière avait, elle aussi, donné des gâteaux récompense après le passage en douane de Sophie au retour (article sur notre séjour à lire ici).

A la niche !

Il arrive tout de même que certaines visites ne puissent se faire avec Sixa. Dans ce cas, pas de panique. Il suffit de laisser le chien dans le van. « Quoi un chien seul dans la voiture en plein soleil ? » je vous vois venir avec vos commentaires sur la maltraitance animale. Il y a des choses qui peuvent se faire et d’autres qu’il ne faut pas faire. Laisser une voiture en plein soleil ce n’est pas top. Le van a l’avantage d’être plus gros qu’une voiture et d’avoir plus de volume d’air à l’intérieur. Il lui faut donc un peu plus de temps pour chauffer. Ce n’est pas une raison pour le laisser en plein soleil, et même si cela fait un peu plus de marche à pied avant la visite, il y a toujours un peu d’ombre en bord de parking ou dans une rue voisine. Il est important de laisser de l’eau à disposition pour que le chien s’hydrate correctement et un petit jouet d’occupation en cas d’ennui. Avoir une ouverture, une fenêtre entre-ouverte ou une aération (chose courante dans les van classés VASP) est un beau plus.

Mais là aussi, laisser son chien seul ne s’improvise pas. Si Sixa est plutôt bien équilibrée dans sa tête, c’est parce que nous y avons travaillé. Si elle reste dans la voiture sans tout casser, c’est aussi parce que nous l’avons éduquée dans ce sens. Elle a des phases de jeux et de dépense suffisamment importantes pour permettre des moments calmes, seule (merci Tony pour ces précieux conseils).

Pour apprendre cela à votre chien, allez-y progressivement avec des périodes de quelques minutes au début qui s’allongent avec le temps. Quoi qu’il se passe au moment de ré-ouvrir la portière de votre voiture, il faut que cela soit une fête pour votre chien, même s’il y a des bêtises de faites, sinon, il va assimiler le moment de solitude à une punition.

Durant notre traversée de la Manche en ferry, les chiens n’étaient pas admis sur le pont du bateau. Sixa est donc restée 1h40 dans la voiture, seule. Dans les Alpes, il nous est arrivé de la laisser jusqu’à 2h00 durant un parcours de Via Ferrata. Cela ne pose pas de problème si ce temps de solitude est compensé avant ou après par des phases ludiques ou de dépense. Bien évidemment, nous préférons l’avoir avec nous en pleine nature ou à nos pieds au restaurant.

Attention sol glissant.

Pour ne pas se mentir, ce n’est pas parce que nous avons un toutou que nous tolérons le mauvais comportement des autres. La petite crotte en bord de route, sur les pelouses ou les trottoirs, cela nous irrite comme tout le monde. Il n’est pas trop difficile d’avoir un sac sur soi pour ramasser derrière notre chien.

Il faut savoir qu’en France, laisser par négligence la production de votre animal de compagnie est sanctionné par une amende. « Tout propriétaire ou possesseur de chien est donc tenu de ramasser immédiatement les déjections canines situées sur le domaine public communal ». Elle est en général de 35 euros, mais peut monter beaucoup plus haut et dépend de chaque commune. A Lille par exemple ce sera 50 euros, 68 à Valencienne; 135 à Orléans, 200 à Brive la Gaillarde ou encore 750 à Bergerac.

Chez nos voisins suisses, même réglementation, Une amende peut être appliquée, allant de 50 à 1000 francs suisses suivant que votre caca canin n’est pas ramassé dans le Valais, le canton du Jura ou de Genève.

En Italie, c’est en général 75 euros. L’amende peut arriver chez vous sans prévenir si vous avez commis une infraction, un test ADN est effectué pour prouver la culpabilité de votre chien.

Outre Manche, la sanction peut aller jusqu’à 1000 pounds.

En passant la frontière pyrénéenne, même topo, les amendes espagnoles peuvent aller de 750 sur l’ensemble du pays à 1500 euros à Madrid.

Encore une fois, tout cela c’est juste du savoir vivre et de l’organisation. Avoir dans une poche de son sac ou dans sa veste un petit sac vous évitera bien des ennuis.

Pour voyager à travers l’Europe.

On lit pas mal de choses sur les voyages transfrontaliers, voici quelques rappels concernant les roadtrips en Europe.

Si vous vous rendez dans un autre pays de l’UE (dans ce cas les 27 pays de l’UE + la Norvège et l’Irlande du Nord) avec votre chien, votre chat ou votre furet (que l’on appelle régulièrement les carnivores domestiques). Ces règles sont également applicables pour les voyages vers l’UE depuis un pays ou un territoire situé en dehors de l’UE.

À quelques exceptions près, votre animal de compagnie peut voyager avec vous dans un autre pays de l’UE ou depuis un pays hors UE dans un pays de l’UE:

  • s’il porte une puce électronique ou un tatouage clairement lisible appliqué avant le 3 juillet 2011;
  • s’il a été vacciné contre la rage;
  • s’il a été traité contre l’échinococcose ( Echinococcus multilocularis), dans la mesure où cette infection est absente de votre région de destination (Finlande, Irlande, Malte, Norvège et Irlande du Nord);
  • s’il détient un passeport européen pour animaux de compagnie en cours de validité, en cas de voyage depuis ou vers un pays de l’UE ou l’Irlande du Nord, ou un certificat sanitaire européen en cas de voyage depuis un pays hors UE.

Vous n’avez jamais entendu parler du passeport européen ? Il est pourtant indispensable pour les déplacements entre les pays de l’UE. Il contient une description de l’animal et des informations concernant notamment la puce électronique ou le numéro de tatouage, la vaccination antirabique, ainsi que les coordonnées du propriétaire et du vétérinaire ayant délivré le passeport. Vous pouvez obtenir un passeport européen pour votre chien, chat ou furet auprès de n’importe quel vétérinaire habilité (par les autorités compétentes). Il est valable à vie, pour autant que les vaccins antirabiques soient à jour.

Pour l’Angleterre?

Si vous envisagez de voyager avec votre chien en Grande-Bretagne, il faut remplir des conditions similaires :

Nous avons écrit quelques lignes sur le sujet dans notre article I Have Perfectly bilingual retraçant une partie de notre séjour outre Manche avec Sixa.

Et pour le reste du monde ?

Là, le plus simple c’est de faire une demande à l’ambassade française du pays de destination. Les réglementations diffèrent d’un pays à l’autre.

Le Japon, la Nouvelle-Calédonie, les Seychelles ou encore l’Australie demandent une quarantaine de 40 jours. L’information a son importance si votre séjour sur place est inférieur à un mois.

La Nouvelle Zélande, de son côté, demande un âge minimum de 9 mois pour entrer sur son territoire avec un chien. Il s’agit généralement de 3 mois pour beaucoup de pays.

S’il fallait faire un bilan?

Que dire, si ce n’est que, moi, j’aime pas les chiens ?

Mais si c’était à refaire, je pense que je le referai.

Depuis que nous avons Sixa, nous nous sommes (un peu) fait piéger nous même. Comme notre chien demande une certaine dépense physique, nous nous forçons à sortir plus qu’avant pour faire des balades. Durant le mois de novembre 2022, Sophie a cumulé plus de 114 km de balade enregistré rien qu’en Angleterre sur notre appli de rando Openrunner. En avril 2022, j’avais déjà enregistré, juste sur mes balades, quelques 51 km.

Nous n’avions jamais eu de chien avant. Sophie était même un peu craintive. Toutes nos peurs et nos craintes se sont très vite envolées. Partager le voyage avec Sixa change vraiment les choses. Sophie qui était seule outre Manche était bien plus rassurée, moi aussi. Elle pense même que sans le chien, elle n’aurait pas osé tenter l’aventure. Une présence canine lui a permis de se sentir moins seule et a largement facilité les rencontres et les échanges.


Infos utiles

Lien vers le site web officiel de l’Union Européenne proposant des infos sur le voyages avec votre animal ainsi qu’une multitude d’informations pour préparer votre itinéraire.

Lien vers le site service-public.fr vous aiguillant également sur vos déplacements avec animaux

Lien vers le site d’Esprit Dog que nous avons utilisé pour l’éducation de notre toutou

Lien vers notre récit sur l’Angleterre

Lien vers l’application Openrunner


Écrit par Sophie et Lilian le 03/01/2023


En espérant que ces quelques lignes vous aurons plu. Ne pas hésiter à Commenter et à Partager

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