Voilà un long moment que Sophie voulait visiter le sud de l’Espagne. Un voyage en été nous faisait craindre de fortes chaleurs vite insupportables en van. Nous voici partis en hiver à la faveur d’un alignement cosmique de vacances, de garde d’enfants et de disponibilité.
Nous avons déjà eu l’occasion de vadrouiller sur la côte Est espagnole ou au Portugal. Mais les chaleurs élevées du centre et du sud de l’Espagne représentaient très rapidement un frein pour le passage à l’acte. Les enfants, eux non plus, n’étaient pas chauds pour une nouvelle session de vadrouille en van loin de la maison. C’est donc en hiver, loin des périodes touristiques, avec une solution de garde d’enfants sur la période des vacances scolaires, que nous franchissons le pas.
Nous voici en route pour un road trip de quelques 4100 km en direction du sud hispanique.

Nous n’avions pas de destination très précise, plutôt des tendances, envie de soleil et de profiter de la montagne. Les enfants n’étant pas avec nous, nous allons pouvoir enchainer les via ferrata et les randos à la journée. Nous ne serons pas déçus.
La descente :
Nous quittons la Franche Comté à la mi journée et faisons la pause nocturne au bord du Rhône vers Lyon. Première nuit fraiche avec des gelées matinales… Un moment de doute sur la météo des prochains jours. Nous choisirons de n’organiser notre voyage qu’en fonction du soleil.



Après une nouvelle nuit (fraiche) sur les hauteurs de Saint Chinian, nous découvrons les « capitelles », ces constructions de pierre sèche réalisées avec la roche retirée des champs pour les cultiver.
Première étape sportive à Mazamet où nous voulions depuis un moment découvrir la passerelle et la via ferrata.
La passerelle est un tour de force entre deux éperons rocheux. Avec 170 m de long, elle permet de rejoindre le village médiéval d’Hautpoul avec une balade bucolique à 70m au-dessus de la rivière.








Le soir venu, Sophie propose de trouver une source d’eau chaude pour renouveler l’expérience que nous avions menée un an plus tôt lors d’un court séjour vers Carcassonne (A retrouver dans Aude à la Joie ! ). Après une courte recherche sur l’internet mondial, pas de source avec une eau vraiment chaude sous le coude, nous trouverons tout de même un point d’eau dit tiède par les utilisateurs. Nous voici en route pour Reynes dans les Pyrénées-Orientales.
Nouvelle nuit fraiche, il faudra allumer le chauffage stationnaire pour apporter un peu de chaleur au petit matin. La nature nous rappelle également quelques lois de la physique. Tout corps mouillé laissé en suspend à des températures proches de zéro devient solide… et ne sèche pas plus vite, au contraire.



C’est décidé, nous prenons la tangente et filons vers le soleil en traversant la frontière espagnole. Nous en profitons pour déjeuner sur la plage et enchainer avec la belle via ferrata Cale De Moli.









La nuit se passera sur les hauteurs de Sant Feliu de Guíxols dans un endroit hors du temps avec une belle vue sur les montagnes d’un côté et la mer de l’autre.




Pour changer, c’est une nouvelle via ferrata qui nous attend, dans un cadre incroyable, à deux pas de la vallée de l’Ebre, non loin de Tortosa.
Belle rencontre sur le retour. Avec l’envie de prendre une douche, nous croisons le chemin de madame le maire de Els Reguers, un petit village entre les collines et le fleuve. Nous avions vu sur internet que des douches étaient potentiellement disponibles sur la zone sportive de cette commune. Une fois à l’endroit indiqué, nous n’avons trouvé que des bâtiments clos, normal en cette saison. Mais en discutant avec des gens sur place, dont le premier magistrat de la ville, nous avons eu l’autorisation de nous rendre dans un vestiaire pour une bonne douche, froide, mais salvatrice tout de même. Encore un grand merci à eux pour cette autorisation d’accès.





Propre comme des bébés, nous prenons la route de la côte avec l’envie de poser le van en bord de mer. Ce qui, finalement, n’est pas chose aisée dans cette région où l’ensemble du littoral a été sacrifié au profit des installations balnéaires. Nous finirons par trouver un petit coin prisé des camping-cars et des teuffers du côté de Torrenostra. Les teuffeurs situés à 2 km auront oublié d’éteindre la musique en allant se coucher. Il y a eu du bruit toute la nuit. L’avantage de ce lieu, c’est que nous sommes en pleine nature et que le paysage n’est pas vilain… nous donnant une avant goût de la suite de notre voyage, mais ça, nous ne le savions pas encore.

Une envie de hauteur et de nature nous appelait vers des petits sommets situés non loin de là. Durant notre séjour Au chaud pour l’hiver, nous étions descendus jusqu’à Calpe à peine plus au sud, et avions déjà eu envie de faire un tour sur les hauteurs du Parc Natural del Montgó. A l’époque, le temps, les enfants et la motivation nous avaient peut-être manqué. C’est aujourd’hui notre destination.












Après une petite soirée bien fraiche sur le bord de mer vers Saint Palo, nous poursuivons vers le soleil, voire même plus : le désert.
Andalousie, entre désert et des serres !
Gros saut de puce sur la carte, nous nous retrouvons aux portes du massif de la Sierra Nevada à profiter du soleil dans le désert de Tabernas pour deux jours. Durant l’été à l’autre bout du pays nous avions fait le tour du désert de Bardenas dans lequel il était difficile de se promener en dehors de la route officielle et où les 40 degrés ambiants ne donnaient pas franchement envie de déambuler; alors là, nous voulions en profiter.
D’après Wiki, il s’agit de l’unique véritable désert d’Europe, les autres zones du continent appelées « déserts » étant en réalité des zones semi-désertiques. La superficie occupée par le désert est en expansion en raison du dérèglement climatique. Il est protégé comme une région sauvage (Parc naturel du désert de Tabernas) depuis 1989, et s’étend sur 280 kilomètres carrés.
















En raison de ses similitudes avec les déserts de l’Ouest américain et de l’Afrique du nord ou les déserts arabes avec leurs paysages lunaires, il a servi de lieu de tournage à partir des années 1950 pour des films comme Un taxi pour Tobrouk puis Le bon la brut et le truand, Il était une fois dans l’Ouest, Lawrence d’Arabie, El Condor. On y tourne encore de nos jours de nombreux films et westerns.
Lors de notre balade du premier jour sur place, nous avons croisé une oasis qui avait servi de décor pour le tournage (entre autres) de Lawrence d’Arabie.
Le deuxième jour sur place, nous nous sommes lancés sur un second sentier de randonnée de près de 12 km, pas franchement bien tracé, mais agréable à faire. Cette « petite » balade nous a permis de croiser l’ancien village/décor où avait été tourné le film El Condor avec la Pension Coyote comme bâtiment principal.
























En descendant un peu plus au sud nous faisons une pause vers Berja. Une commune au pied des montagnes, légèrement dans les terres. Le bord de mer est ici laissé aux voiles de forçage et au serres. Il y a en a sur des centaines de kilomètres carrés. Même depuis les hauteurs de notre parking, nous les voyons à perte de vue.

L’endroit est paisible, il y a de l’eau, de la place pour stationner, pas d’interdiction d’accès aux camping- cars, du bois pour faire du feu. C’est assez rare, mais nous décidons d’y rester deux nuits. Ce qui permet de coupler la via ferrata locale à une grosse rando sur les hauteurs de la montagne creusée comme un gruyère avec des mines de plomb à l’abandon dans tous les sens.

















Nous voulions faire une petite pause au cœur de la Sierra Nevada et plus particulièrement dans Les Alpujarras avec des gorges, des défilés à couper le souffle, mais aussi la visite de Trevélez qui est le village le plus haut d’Espagne, juché à quelques 1746 mètres de haut. Problème : tout cela est en hauteur. Les températures y sont basses et comme la Sierra Nevada est le massif montagneux le plus haut de l’Espagne continentale avec un sommet à 3479 m (oui, techniquement, le sommet hispanique se situe à Ténérif dans les Iles Canari à 3715 m de haut) il y a encore de la neige. Information qui aura vite refroidi nos envies.
Du coup, nouveau saut de puce géographique, nous voici à Granada. La ville est réputée pour ses bâtiments à l’architecture médiévale datant de l’occupation mauresque, en particulier l’Alhambra. Perché sur une colline, son vaste ensemble fortifié comprend des palais royaux, des patios tranquilles et des piscines réfléchissantes de la dynastie Nasride, ainsi que les fontaines et les vergers des jardins du Généralife.
La ville est jolie, l’architecture vraiment arabisante, l’Alhambra est à voir, mais ce n’est pas le gros coup de cœur pour nous. Certes, nous n’aimons pas vraiment les grandes villes, mais nous sommes parfois surpris.
Attention pour le stationnement, il ne faut pas vouloir se rendre dans les ruelles du vieux centre pour se garer. Sur internet, nous avions repéré un parking souterrain à côté d’un hôpital, dont le tarif semblait, d’après les internautes, plutôt alléchant. Que nenni, nous avons dû payer près de 15 euros pour la journée. Ce n’était pas moins coûteux que d’autres parkings publics bien plus proches des zones à visiter. Attention également pour votre réservation en ligne de vos billets pour l’Alhambra. Il existe de nombreux organismes ou tours operators sur le net. La vente de tickets y est réelle, mais le tarif y est souvent plus élevé que sur le site officiel.
De plus, pour votre inscription, il vous faudra vous munir de votre carte d’identité. Le numéro de votre CI sera à renseigner lors de l’achat de vos places et la carte sera badgée à votre entrée sur site.
Après cette petite visite, nous voulions nous rendre à El Chorros pour voir le célébre Caminito Del Rey. Tout comme l’Alhambra, la réservation est obligatoire, et uniquement par le net. Il n’y a plus de place avant 15 jours pour une visite non guidée. Il reste de la place avec un guide anglais dans 4 jours. Nous modifions un peu l’ordre du programme de visite et allons en direction de Ronda. En chemin, nous croisons devinez quoi… une via ferrata ! Celle d’Archidona, un chouette petit village (blanc) au cœur des oliviers.





Quelques conseils bien avisés, nous ont soufflé de ne pas manquer le petite village troglodyte de Setenil de las Bodegas. C’est un petit village blanc blotti sous un rocher immense, au point que certaines maisons ont économisé la construction de leur toiture Nous avons suivi les conseils et n’avons pas été déçus du voyage.









Nous avons surtout profité de la visite de ce village pour faire le plein de légumes à prix défiant toute concurrence (française) dans une petit commerce plus habitué à voir les locaux faire leurs emplettes que les touristes.
Il est tôt, nous avons encore du temps, nous filons vers Ronda pour visiter et faire une via ferrata de niveau ultra facile, mais qui a l’avantage de proposer un point de vue unique sur l’une des attractions touristiques.
En effet, Ronda est une ville installée au sommet d’une petite montagne. Elle surplombe El Tajo, une gorge profonde qui sépare la nouvelle ville en deux, le tout relié par un pont très photogénique. Les deux petites via ferrata empruntent de vieux sentiers de paysans qui étaient destinés à raccourcir le trajet de ceux-ci entre le fond de la gorge et le village. Le parcours des via utilise encore certains barreaux d’échelles ou marches d’escaliers historiques.



Nous quittons à nouveau la ville pour nous réfugier en montagne. Et découvrons une petite pépite pas vraiment mise en avant sur les guides touristiques. Nous voici à la Cueva del Hundidero à côté de Montéjaque. Sans doute le coup de cœur de ce périple.
La grotte, impressionnante, est en réalité le siphon, unique échappatoire pour l’eau du vallon en amont. La rivière ressort de l’autre côté de la montagne dans les souterrains de la Cueva del Gato (lieu beaucoup plus touristique, moins perdu et sans doute moins beau).







Nous en profiterons bien évidemment pour enchainer la via ferrata locale de niveau K4 (donc relativement difficile) et la aussi, le cadre, l’ambiance, les vautours… nous ont tapé dans l’œil.





Nous sommes à ce moment là, sans trop le savoir alors, à notre point le plus méridional, tous périples confondus.
Le temps avance bien vite, notre rdv avec la Caminito Del Rey nous oblige à nous déplacer en direction de la maison.
Devinez quoi… il y avait aussi une via ferrata à El Chorro. Nous nous empressons de la faire.








Après une belle balade le matin avec notre Sixa, nous voici en route pour ce qui fut dans les années 2000 l’un des spots urbex les plus engagés et dangereux du sud Espagne. De nombreux aventuriers ont eu l’occasion de suivre ce chemin d’accès au barrage entre sa période d’exploitation et sa phase de réaménagement touristique.
Finalement, nous ne regrettons pas d’avoir pris la visite avec un guide. La balade aura duré près de 2h00 auxquelles il faut ajouter 30 minutes de liaisons entre le bas à El Chorro et le début en haut à Gaitanejo.
Concrètement le chemin de visite fait 7 kilomètres, mais seulement 2,9 km sont dans l’espace réservé payant du Caminito Del Rey. Il y a 2,7 km entre la dépose bus en bord de route au nord et l’entrée officielle du chemin et 2,1 km entre la fin du défilé (cabane de surveillance) et la zone de stationnement au bord du lac à El Chorro.
En saison basse (nous y étions en février) les parkings d’El Chorro ne sont pas bondés. Il n’est pas nécessaire de prendre un ticket « parking » en supplément. De la zone de stationnement officiel qui est en bord du lac tout de suite à gauche après le passage qui enjambe le barrage, il faut compter dix minutes à pied pour rejoindre la gare qui est également le point de ramassage des bus faisant la liaison avec le départ.
Comme pour la visite de l’Alhambra, nous avons dû nous inscrire sur le site officiel. C’est une destination touristique, là aussi des tours operators proposent des billets à un tarif différent de celui de la boutique officielle. Et comme pour l’Alhambra, il faut renseigner votre numéro de CI sur le site internet pour confirmer la réservation. Attention à bien télécharger le billet d’entrée en cliquant sur un lien inscrit dans le mail de confirmation. N’oubliez pas votre mot de passe, oui il faut créer un compte sur le site du Caminito avec adresse mail et mot de passe. C’est ce mot de passe qu’il vous faut pour faire apparaitre le QR code nécessaire à l’entrée… je ne retrouvais plus le mien, il a fallu expliquer cela en anglais aux personnes scannant les billets à l’entrée du site. Ce n’était pas chose aisée, mais nous sommes passés tout de même.











Sur le net, Sophie trouve une nouvelle trace d’une source d’eau chaude en libre service. C’est sur notre route ou presque. Nous nous rendons à côté de Sujar, mais avant : petite visite surprise de la ville de Guadix, ancienne ville avec encore de belles marques médiévales. Ville qui a la particularité d’avoir tout une zone d’habitats troglodytes. Dans la série des choses à visiter, cette bourgade a servi de décor à plusieurs films, un parcours existe avec des points de vue, des espaces de tournage et des explications sur les films en question.






Nous finirons la journée sur les bords du lac Negratin, lac ou plutôt retenue d’eau. Nous avons une plage avec de l’eau à 40° et aucune difficulté pour nous baigner en ce mois de février.
Il s’agit d’une ancienne station thermale, laissée à l’abandon pour la construction d’une retenue d’eau il y a de nombreuses années. Le niveau de la retenue étant particulièrement bas, les espaces naturels des thermes refont surface.
Sur le chemin quittant cet endroit idyllique, mais tout de même un peu fréquenté pour la saison, nous croisons une coopérative d’huile d’olive. Nous ne résistons pas longtemps à l’idée de faire le plein d’huile avant notre retour en France.
Ce n’était pas une boutique comme les autres, mais vraiment un lieu de production et d’exportation d’huile d’olive. Pas de petit guichet pour régler notre commande, mais un vaste bureau avec deux secrétaires plus habituées aux commandes par palette qu’à l’achat à la bouteille.




On vous donne le lien vers le site de la coopérative en fin d’article.
Retour vers la maison !
Il est déjà temps pour nous de remonter vers notre chez nous et de quitter l’Andalousie. La question du chemin de retour s’est posée plusieurs fois durant le séjour. Revenir par la même route (ou presque) ou alors rentrer par l’intérieur des terres hispaniques ? Au moment d’attaquer la remontée, nous avons souvent regardé la météo. Les températures sont fraiches, voire même franchement froides, au cœur du pays et le ciel est plutôt menaçant. Nous rebroussons donc chemin par la même route en longeant la côte.
Nous profitons de notre halte nocturne au milieu de nulle part pour faire un petit détour (encore un) vers un domaine viticole à Fondó de les Neus et une via ferrata à Redován.














La via ferrata a une section en cotation K5, c’est à dire vraiment difficile. Je la fais seul, Sophie restera au bas de la montagne et en profitera pour faire une balade avec le chien.
Le domaine viticole Bodegas Cerdá est une recommandation internet. Ils proposent une visite guidée avec dégustation et collation pour le midi, nous n’avons pas le temps et le tarif nous refroidit un peu. Nous faisons tout de même le plein et demandons quelques cubis de rouge et de rosé très agréable en bouche. Nous recommandons tout de même cet endroit. Le rosé était vraiment à notre convenance et le rouge très fruité, comme on aime.
Sur le chemin retour, nous croisons également un drôle de petit village de montagne. Le Masia Castello est un hameau reconstruit par les villageois. Il y a des animations au cours de la belle saison et des animaux de la ferme.



Retour en France, le froid se fait de plus en plus sentir. Il y a eu des gouttes de pluie dès que nous avons passé Narbonne. Nous profitons d’une dernière journée pour visiter la nouvelle via ferrata de Bedarieux en Hérault. Rien de très difficile, c’est surtout l’occasion de faire une coupure sur la montée vers la maison.





Il y a beaucoup de vent sur la remontée le long de la vallée du Rhône, des appels à la vigilance se multiplient à la radio et sur les panneaux autoroutiers. Une dernière pause repas le long du Rhône pour se dégourdir les jambes, les nôtres et celles de Sixa.



Nous remontons un peu plus vite que prévu, l’emploi du temps des enfants se précipite, entre orientation scolaire, dentiste et anniversaire. Nous avons franchement bien profité de cette vadrouille au soleil.
Nous gardons encore de chouettes endroits en mémoire et sommes très heureux d’avoir encore pu profiter de notre fidèle Arno pour nous emmener sur de si belles aventures.
Infos utiles
Lien vers le site officiel de l’Alhambra
Lien vers le site officiel du Caminito Del Rey
Lien vers l’organisme en charge du Parc Natural El Montgo
Lien vers le site de la coopérative d’huile d’olive Olibaza
Lien vers le domaine viticole Bodega Cerda
Lien vers le site du Masia Castello
Lien vers notre carte interactive des via ferrata déjà réalisées
Lien vers le site français Via Ferrata.net qui regroupe des informations sur l’ensemble des via françaises
Lien vers un blog regroupant des informations sur les via ferrata espagnoles
Écrit par Sophie et Lilian le 19/03/2023
En espérant que ces quelques lignes vous aurons plu. Ne pas hésiter à Commenter et à Partager
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